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A ce jour, il n'existe aucune solution. La mafia des soirées reste intouchable.

 

Franck MORDACQ, directeur régional des services fiscaux et l'URSSAF refusent toujours le contrôle des entités de la mafia des soirées. Nous savons tous que les fraudes fiscales et sociales sont très importantes, que ce soit en Belgique ou en France. Un CODAF est demandé en vain depuis 2017.

 

Il est impossible de contrôler les bus de la mafia des soirées puisqu'ils circulent la nuit. La DREAL et la Police des Transports ne peuvent rien faire sans l'aval du Procureur de la République. Qui ne bouge pas depuis 2017 (dépôt de la 1ère alerte).  Lorsqu'un contrôle a lieu en dehors des horaires habituels de travail de ces fonctionnaires qui sont parfaitement informés des problèmes répétitifs, il faut l'aval du Procureur. 

 

Un grand merci aux gradés de la CRS des 4 Cantons et de la Police des Transports du commissariat de police de Lille qui ont agi de leurs propres initiatives le 11 octobre dernier.

Grâce au signalement d'un conducteur, la police a pu agir en urgence et de sa propre initiative. Les trois bus qui devaient aller de Lille à Arras étaient tous les trois en interdiction de circuler ! Du jamais vu. Mais 15 mn après le départ de la police, ces trois mêmes bus sont revenus. Bien évidemment toujours en infraction. 110 morts sur les autoroutes de Lille Métropole, notamment sur l'A1 pour aller de Lille à Lens ou Arras... Des bus surchargés, âgés ... qui circulent à 70 km/h avec un camion qui les doublent toutes les 5 secondes parfois sans visibilité... C'est le plus grave accident routier Français qui finira par arriver. Voir la plainte sur ce site.

 

La ville de Lille (selon l'élu en charge de la vie nocturne) dit que ce n'est pas à la ville de gérer le problème des soirées étudiantes. La ville n'a pas à proposer ses salles, même sous utilisées (comme le Tri Postal, Hall B de St So...)

 

La seule solution, serait la MEL. Après un premier contact fructueux auprès du cabinet de Mr CASTELAIN, la MEL pourrait apporter la solution définitive. Mais pas avant plusieurs années. En effet, la MEL n'est pas compétente pour les soirées étudiantes et ne peux rien faire actuellement. Les soirées étudiantes sont une activité économique. Dans ce cadre uniquement, une salle pourrait être proposée. Le temps de déposer le dossier, que les élus votent le projet, que l'architecte  crée le projet, que la construction (ou la rénovation) se fasse... Rien avant trois ans minimum, voire cinq ans si c'est un bâtiment neuf.

La seule solution à court terme relève du privé. 

Si quelqu'un possède un bâtiment homologué pour accueillir des soirées à proximité de Lille, qu'il prenne contact avec l'association Liberbus à la Maison des Associations de Lille (liberbus@gmail.com).

 

En fait, tout bougera dans l'urgence le jour où il y aura un accident de bus avec d'innombrables victimes. Pour l'instant, les trois étudiants morts en 2017 et 2021 ne comptent pas. Ils ont pourtant un point commun : pas de bus du tout (trop chers ?). Donc c'est la voiture et dans un coffre, on y met ce que l'on veut sans aucun contrôle pour une soirée ou un week-end d'intégration !

Dans l'enfer des soirées étudiantes 

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